Conseils en cas de litige...

Conduite à tenir en cas de litige

Vous n’êtes pas contente ? dîtes le moi ! Que ce soit sur le déroulement de la consultation, le résultat d’une intervention, un incident post opératoire, l’accueil de la clinique ou encore un différend avec le personnel administratif ou para-médical : il vaut mieux en parler tout de suite !

“Je ne suis pas contente du résultat”

Presque toujours, lorsque vous n’êtes pas satisfaite, je ne le suis pas non plus ! Cela veut dire qu’effectivement le résultat obtenu n’est pas celui escompté…

La solution : attendre que les phénomènes de cicatrisation s’atténuent, puis compléter l’intervention. Les frais sont à ma charge.

“C’est bien, mais il y a des imperfections”

Il arrive parfois que le résultat optimal nécessite de légères améliorations (petit bourrelet, cicatrice dysgrâcieuse).

La solution : une retouche réalisée sous anesthésie locale ou en ambulatoire. Seuls les frais de clinique sont dus.

“Il y a eu une complication”

Mon métier c’est aussi (et surtout) d’être là lorsque les choses vont mal ! Car face à une complication, il faut savoir agir efficacement pour limiter les séquelles. Je reste donc joignable en permanence par vous, la clinique ou votre médecin traitant lorsque le risque d’une complication se réalise.

La solution : pour des séquelles modérées, si la relation de confiance reste bonne, on pourra corriger chirurgicalement les défauts. Si elles sont importantes, vous pouvez demander réparation par une procédure amiable auprès de mon assurance.

Le recours à une juridiction civile permettra d’obtenir réparation en cas
d’échec de la procédure amiable.

La plainte auprès d’une juridiction pénale ou ordinale (Conseil Départemental de l’Ordre des Médecins) sera déposée lorsque l’on estime que le praticien a eu un comportement répréhensible (non assistance à personne en danger, violation du secret professionnel par exemple ...). Pour en savoir plus, allez sur le portail de la santé publique https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/N10253.

Dans tous les cas, la priorité est de conserver le dialogue, expression du respect mutuel : ma porte reste toujours ouverte !